A ce charmant bombardement,A plein nez aimait ä le prendre.Qu'etait-ce donc? Toul simplementPetits ballons remplis d'avanceDa la plus delicate essence,Qu'lmperia, sublilement,D'un pelit coup, avec adresse,Faisait eclater sous sa fesse.
Apres maints ebats on s'endorl,Quand un coup de foudre qui sorl,En sursaut reveille de Lieme,Sous la courtine il met le nePour mieux flairer le nouveau-ne.11 aspire .... Ah! sois-je damne,Si jamais soufre de l'Averne,Soupirail puant de l'enfer,D'odeur plus forte embauma l'air!
— Bran! s'ecria-t-il. Par saint George,J'en au jusqu'au fond de la gorge.Jamais ne fus tant infecle.
Dans le lit le diable a fiente.
— FoinI dit la dame peu marrie,M'allez-vous intenter procesPour cette autre galanterie?
■Ic uous au fait un vent francai. --Pour vous rappeler la patrie.
Man vergleiche gegenüber diesem von Witz sprühendenfranzösischen Produkt das folgende deutsche Elaborat!Hier ist es die unverblümte Deutlichkeit, die Häufungder scheinbar im unverfänglichen Sinne gedachten Hin-weise auf die Dinge, die man „gehen lassen kann". Die-ser Brief, den ein mährischer Darfschulmeister voretwa sechzig Jahren an seine Behörde gerichtet habensoll, wurde in der k. k. Statthaltereikasse zu Brünn am11. Juli 1866 vorgefunden und das Original dem KönigWilhelm I. von Preußen, dessen Hauptquartier sich
54