465
Et je veux mourir avec l’espoir que la France etl’Amérique se souviendront qu’à deux époques tragiquesde leur histoire, elles ont tiré l’épée pour défendre côteà côte leurs libertés et leurs droits, et qu’elles ne l’ontremise au fourreau qu’après avoir, par leur commune vic-toire, sauvé la plus juste et la plus sainte des causes.
Louvecienne3, juin 1928
FIN
\
T. II.
30